Erebos Reiwa Tour 41 - Déception Hankyu
A Osaka, nous déposons nos bagages à Tsukamoto qui sera notre QG pour 4 jours, et nous filons à Kishibe, sur la ligne JR Kyoto.
Quelques semaines avant le départ, j'avais vu sur le site Hankyu qu'il y aurait une journée portes ouvertes au dépôt de Shôjaku le 12 mai. J'étais aux anges, ça tombait pile poil dans mes dates.
Je trépigne d'impatience. Devant nous des gamins avec t-shirt ou sac à dos Hankyu. Dans la rue passe une vielle Chevrolet (oui aucun rapport !).
J'arrive devant l'entrée du dépôt, quelques employés Hankyu font l'accueil et l'un d'entre eux me demande mon ticket. Hein quel ticket ? Il faut aller à un autre endroit obtenir préalablement un ticket d'entrée ? Non ce n'est pas ça me dit-il en montrant un prospectus : il fallait envoyer un bulletin d'inscription en février-mars, et on recevais un ticket d'entrée par la suite.
Ce prospectus, je l'avais bien vu sur le site Hankyu, mais il n'y avait pas la partie sur l'inscription. De toute façon, c'était trop tard. rah la poisse. Pour les ateliers Shinkansen de Hamamatsu c'était entrée libre, comme les visites de dépôts qu'a fait le Densha Otaku. J'ai bien essayé d'appitoyer les employés Hankyu, dire je suis venu de très loin exprès, que je suis un grand fan, rien n'y a fait... Ca aurait peut-être marché ailleurs, mais pas au Japon !
Du coup, la mort dans l'âme, je fais quand même le tour du dépôt, histoire de n'être pas venu complètement pour rien.
J'essaye de me remotiver au passage à niveau voisin, mais le coeur n'y est plus. De toute façon les trains Hankyu, y sont tous pareils !
Pourtant même de la rue on a de beaux points de vue sur le dépôt. C'est loin d'être partout comme ça.
Mais le plus dur c'est dans la rue entre le dépôt et les lignes JR. On est juste à côté, il n'y a qu'une barrière pas si haute que ça. C'est tentant, mais bon si je me fais chopper ou repéré après coup par les agents à l'entrée (qui est aussi la sortie)...
Pour images à l'interieur du dépôt, il faudra que je me contente des sites spécialisés, c'est comme ça...