
Je suis un peu paumé dans des ruelles des faubourgs d'Ôsaka.La faute à n'avoir rien pu repérer comme il faut, pas comme d'habitude.
J'ai laissé derrière moi la ligne Nankai, la gare d'Abikomae.Je me dirige vers la ligne Hankai, celle des beaux tramways, la seule résistante de la ville. Il y a la station d'Abikomichi, avec le dépôt attenant.Abiko-mae, Abiko-michi, les deux ne sont pas loin, il faut juste que je la retrouve.
Je tourne un peu, je renifle l'odeur de l'huile chaude.
En chemin, je me dis que je mangerai bien un morceau...
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