19 mai 2006

Avide, c'est vite dit! Les trains vides nous imprègnent d'une certaine nostalgie. Celle d'un hypothétique départ..vers une destination pas encore connue. Trop de choix, on ne sait où s'asseoir, à droite, à gauche, près de la porte, prêt à s'enfuir, prêt pour le départ, pas trop près les uns des autres...ce serait dommage que l'on se colle, même si la superbe femme qui vient d'entrer et s'est assise pas trop loin nous donne envie de bouger un rien pour être au plus près, pour pouvoir être au contact forcé en cas d'affluence... ... [Lire la suite]